Dans la lettre d’info hebdomadaire de la Fédération professionnelle des journalistes québécois, à la rubrique les nouvelles du journalisme dans le monde, nos confrères signalent la fermeture de la télé publique en Grèce.
La finale de l’article précise ; Il faut dire que très peu de Grecs (moins de 10%) regardent les chaînes publiques qui sont le fief des partis politiques qui y placent leurs amis, bien payés mais incompétents. Elles ont (sic) régulièrement critiquées pour leur clientélisme et leur mauvaise gestion.