Isabelle Aubret, invitée ce dimanche 30 septembre, à noms de dieux par Edmond Blattchen.

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       Noms de dieux entame sa vingt et unième saison. Comme toujours, en face de l’invité, Edmond Blattchen.  Comme toujours, le même décor  imaginé par le réalisateur Jacques Dochamps, décor à base de quelques projecteurs. Comme toujours les mêmes chaises lesquelles ont accueilli d’illustres personnalités, en revanche, la table est neuve. Comme toujours, une programmation tardive sur la Deux de la RTBFbe, mais, la technologie ne cessant d’évoluer, il est possible de voir, à l’heure choisie, l’émission sur le Net en cliquant  sur revoir. Comme toujours, noms de dieux demeure une des rares émissions de service public de la RTBFbe, l’institution audiovisuelle de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

      Vingt et unième saison entamée avec Isabelle Aubret le dimanche 30 septembre, vers 22h45, sur la Deux. Isabelle Aubret est une ch’ti pur jus. Née à Lille, à l’âge de 14 ans, elle abandonne l’école pour l’usine. Sa passion à l’époque est la gymnastique. Elle remporte en 1952, le titre de championne de France. Elle rêve d’être chanteuse. En 1962, avec Un premier amour, elle remporte le Grand Prix Eurovision. L’année suivante, un accident de circulation l’oblige à renoncer à la scène. Grâce à l’amitié de Jacques Brel et de Jean Ferrat, elle revient en force. En 1982, lors du Gala de l’Union des Artistes, une chute spectaculaire depuis un trapèze l’éloigne à nouveau de la scène. Deux ans auparavant, le public et les critiques lui ont décerné le titre de Meilleure chanteuse du monde.

       À force de volonté, elle remonte sur scène et parcourt le monde. En 1992, le Président François Mitterand lui remet les insignes de Chevalier de la Légion d’honneur et l’an dernier, le Ministre de la Culture Frédéric Mitterand  ceux  de  Commandeur des Arts et des Lettres.

 

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