Le 17 novembre 2011, Liège 28 a attiré l’attention sur les abribus de la firme JC Decaux dépourvus de sièges. Ceux-ci ayant été vandalisé et volés. C’est le cas notamment de certains abribus de la ligne 29 desservant le CHU-Bruyères. Aucun responsable qu’il soit de la firme JC Decaux ou du TEC ne s’en soucie clôt l’article.
Le 13 janvier 2012, le TEC réagit. Le problème évoqué a retenu toute notre attention précise le courriel. Nous en sommes convaincus, le problème existe depuis septembre. Liège 28 ne l’a évoqué qu’en novembre. Deux mois plus tard, car toute situation malvenue mérite de laisser au temps le temps de la résoudre.
Le TEC nous signale que le mobilier urbain (abribus, bancs, poubelles) mis en
place à proximité de nos points d’arrêt ne nous appartient pas. Il est en effet propriété de la firme Decaux et est placé dans le cadre d’un contrat liant cette dernière à la Ville de Liège.
Tout en regrettant de ne pouvoir en faire davantage, le TEC nous informe avoir transmis au service Urbanisme de la Ville de Liège afin qu’il examine les possibilités de réinstaller des bancs à ces endroits. Personnellement, nous n’apercevons guère de difficultés administratives à réinstaller des bancs à ces endroits.
Transmettre le dossier au service de l’Urbanisme ne fait guère avancer le schmilblick d’autant que l’échevin en charge de l’urbanisme, le cdH Firket connaît déjà la situation. Il sait que ces sièges appartenant à la société Decaux ont été volés. Les clients du TEC ne doivent pas être les victimes de ces faits délictueux d’autant que la société Decaux continue à percevoir les recettes des publicités en occupant l’espace public que lui a concédé la Ville de Liège.
Un responsable de la firme Decaux a expliqué récemment à la TV qu’à chaque fois qu’une vitre est brisée, elle dépose plainte. Remplacer une vitre brisée coûte 300 €. Decaux n’attend pas que les auteurs soient connus pour la remplacer. Qu’attend-elle pour remplacer les sièges dérobés ? Pourquoi la Ville de Liège est-elle si indulgente envers cette société ? Le seul espoir des usagers des bus est que 2012 est une année électorale…