Plus que deux nuits dormir. Le 2 février, à 20h15, Liégeoises et Liégeois retrouvent la salle du théâtre de l’Étuve. Fin octobre, cette salle mythique a été appelée à disparaître. Heureusement, la presse liégeoise de La Libre-Gazette de Liége à La Meuse en passant par Proxiliège et Liège 28 relaie l’opération Étuvethon. La salle mythique est sauvée et la prophétie du romancier Alexis Curvers demeure réaliste c’est le théâtre qui, un jour, donnera son nom à la rue de l’Étuve.
À l’affiche du spectacle de réouverture, des régionaux marrants, Didier Boclinville et Pierre Theunis. Programmation naturelle : au lendemain de jours douloureux, rien de tel qu’un grand soir heureux, un spectacle festif, zakouskis et bulles…
Dès le 17 février – toujours à 20h15 – retour à un style de programmation cher au public de l’Étuve. Du Boby Lapointe avec Olivier Ducolu, Boby Lapointe, auteur de Aragon et Castille, Ta Katie t’a quitté et autres L’hélicon. Bref, les mamelles du destin sont à portée de main (1).
Lauréate du Prix Marcel Thiry 2006, l’écrivaine Eva Kaplan sera sur scène du théâtre de l’Étuve, Amoureuse. Amoureuse, une adaptation de son dernier roman paru en début 2010 (2).
Du 23 au 27 mars, la cave de l’Étuve présente les Années Swing, de la musique, des chansons des années 40 à 55, de Glen Miller à Ray Ventura, d’Edith Piaf à Francis Lemarque.
Prix Nobel de Littérature en 2005, le Britannique Harold Pinter – homme de gauche convaincu, il n’aime ni Margaret Thatcher, ni Tony Blair – est à l’honneur à l’Étuve, le 30 mars 1,2, 6, 7 et 8 avril. Dans une mise en scène de Jacqueline Wankenne, Carine Baiwir, Denis Demolin, Jean-François Molinghen et Jean-Philippe Thonnart interprètent Un pour la Route.
(1) Représentations 17,18, 19 février, 03, 04, 05 mars.
(2) Représentation 23, 25, 26 février.