Le vendredi 17 octobre 2008, en marge du XIIème Sommet de la Francophonie, à Québec, Nicolas Sarkozy et Jean Charest inaugurent le Centre de la francophonie des Amériques. Installé Côte de la Fabrique, dans les bâtiments d’une ancienne banque, ce Centre a pour mission de contribuer à la promotion et à la mise en valeur d’une francophonie porteuse d’avenir pour la langue française dans le contexte de la diversité culturelle. Son président-directeur général est Michel Robitaille. Le Conseil d’administration est présidé par Jean-Louis Roy, ancien Secrétaire général de l’Agence de Coopération culturelle et technique.
Diplomate de carrière, par deux fois, dans les années 80/90, Michel Robitaille a été en poste à la Délégation générale du Québec à Bruxelles. A cette époque, sa connaissance des milieux culturels ont fait dire à certains – et non des moindres – qu’ils le verraient bien ministre de la culture de notre Communauté. Boutade certes mais vérité certaine.
Ses affectations l’ont amené en bien de postes dont New-York où Michel Robitaille a été Délégué général. Avec Paris, Londres, New-York fait partie des trois premières Délégations générales du Québec depuis le 21 mai 1961. Toutefois, New-York a été depuis 1940, le siège d’une Agence du Québec, première et unique implantation internationale permanente de ce pays. En 1905, le Québec a eu une Agence à Liège, le temps de l’Exposition Universelle.
Michel Robitaille a été également en poste à Los Angeles. En 1987, il y crée sur une station commerciale californienne, la première émission hebdomadaire radio en langue française Les Quatre Saisons. Cette émission a grand succès, elle existe toujours. Nous y avons présenté un reportage de 52 minutes consacré à Liège, la Wallonie, la Communauté.
Fin août 2010, le Gouvernement québécois a nommé Michel Robitaille au poste de Délégué général du Québec à Paris. Il entre en fonction rue Pergolèse, dans le XVIème arrondissement, le lundi 4 octobre.
C’est une joie d’accueillir a nouveau Michel Robitaille et son equipe dans notre vieux continent. Que liege28 excuse ce clavardage sans accent, mais je vous ecrit depuis Boston sur un clavier qwerty… Qu’il est difficile d’etre francophone en ce nouveau monde qui vieilli lui aussi.
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